paroles et l on y peut rien

Etpeut damner les saints L´honnête ou le sage Et l´on n´y peut rien Et l´on résiste on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayé Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poètes Aimes ses tableaux Et tu cherches à la croiser T´as quinze ans soudain ♫♫Tabalture & Lyrics de "Et l'on n'y peut rien" de Jean-Jacques Goldman en vidéo - Animez vos soirées en jouant de la guitare ! Le Coin Zic – Tablatures Tabs, lyrics et videos – Chantez, jouez, dansez ! Accueil; Artistes de A à Z; Et l'on n'y peut rien. 31 Juil Jean-Jacques Goldman. Tablature et vidéo de "Et l'on n'y peut rien" de Jean-Jacques Goldman Pas de vidéo Partiton de Desseigneurs et des princesses Y’en a plus beaucoup Mais vivre sans tendresse On ne le pourrait pas Non, non, non, non On ne le pourrait pas On peut vivre sans la gloire Qui ne prouve rien Être inconnu dans l’histoire Et s’en trouver bien Mais vivre sans tendresse Il n’en est pas question Non, non, non, non Il n’en est pas question Quelle douce faiblesse Quel joli sentiment Ce Jai entendu par la langue de celui qui ne parle pas sous l’effet de ses passions, qu’aucune créature quelle qu’elle soit ne peut me nuire, de quelques manières que ce soit; et l’on m’a donné une longévité supérieure à celle de mon père. Et n’eut été le désir de Dieu de me donner pareille longévité, je ne tiendrais pas à vivre longtemps à cause des problèmes qui 1 Citations sur se taire avec auteur : C’est en nous qu’il nous faut nous taire. ~ Louis Aragon. L’amitié vit de silence, l’amour en meurt. ~ Jacques Deval. Le silence est le sanctuaire de la prudence. ~ Baltasar Gracian (L’homme de cour, 1646) Celui qui ne peut se taire ne sait pas parler. ~ Pittacos. Mon Mec S Est Inscrit Sur Un Site De Rencontre. ET L`ON N`Y PEUT RIENl Et l’on n’y peut rien Paroles et musique de Goldman Album Chansons pour les pieds » 2001 Couplet 1 Comme un fil entre l’autre et l’un Invisible, il pose ses liens Dans les méandres des inconscients Il se promène impunément. Et tout un peu tremble Et le reste s’éteint Juste dans nos ventres Un nœud, une faim. Il fait roi l’esclave Et peut damner les saints L’honnête ou le sage Et l’on n’y peut rien. Couplet 2 On résiste, on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayé. Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poètes Aimes ses tableaux. Et tu cherches à la croiser T’as quinze ans soudain Tout change de base Et l’on n’y peut rien. Couplet 3 Il s’invite quand on l’attend pas Quand on y croit, il s’enfuit déjà Frère qui un jour y goûta Jamais plus tu ne guériras. Il nous laisse vide Et plus mort que vivant C’est lui qui décide On ne fait que semblant. Lui, choisit des tours Et ses vas et ses vient Ainsi fait l’amour Et l’on n’y peut rien. Chanson, Trop bon, bonne humeur 4 Mars 2018 Rédigé par Goldman et publié depuis Overblog Comme un fil entre l'autre et l'unInvisible, il pose ses liensDans les méandres des inconscientsIl se promène impunémentEt tout un peu trembleEt le reste s'éteintJuste dans nos ventresUn noeud, une faimIl fait roi l'esclaveEt peut damner les saintsL'honnête ou le sageEt l'on n'y peut rienEt l'on résiste on bâtit des mursDes bonheurs, photos bien rangéesTerroriste, il fend les armures,Un instant tout est balayéTu rampes et tu guettesEt tu mendies des motsTu lis ses poètesAimes ses tableauxEt tu cherches à la croiserT'as quinze ans soudainTout change de baseEt l'on n'y peut rienIl s'invite quand on ne l'attend pasQuand on y croit, il s'enfuit déjàFrère qui un jour y goûtaJamais plus tu ne guérirasIl nous laisse videEt plus mort que vivantC'est lui qui décideOn ne fait que semblantLui, choisit ses toursEt ses va et ses vientAinsi fait l'amourEt l'on n'y peut rien Partager cet article Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous Navigation rapide La signification du passage dans Apocalypse 2218 sur le fait de ne pas ajouter des choses Il est prophétisé dans l’Apocalypse que le Seigneur prononcera de nouvelles paroles à Son retour De nos jours, les catastrophes se déroulent à une échelle de plus en plus grande. Au moment le plus crucial pour recevoir la venue du Seigneur, seule l’Église de Dieu Tout-Puissant témoigne publiquement que le Seigneur Jésus est déjà revenu, Il a parlé et a fait l’œuvre du jugement commençant par la maison de Dieu. De nombreuses personnes qui croient vraiment au Seigneur viennent pour chercher et enquêter. Après avoir lu les paroles de Dieu Tout-Puissant, elles ont le sentiment que ces paroles ont la même autorité et le même pouvoir que les paroles du Seigneur Jésus. Elles sont toutes des vérités et ressemblent à la voix de Dieu. L’Apocalypse 2218-19 dit Je le déclare à quiconque entend les paroles de la prophétie de ce livre Si quelqu’un y ajoute quelque chose, Dieu le frappera des fléaux décrits dans ce livre ; et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. » D’après cela, les pasteurs et les anciens disent Le livre de l’Apocalypse dit que rien ne peut être ajouté ou retiré de l’Écriture. S’il y a maintenant des gens qui témoignent que le Seigneur est revenu et a prononcé de nouvelles paroles, ce serait ajouter quelque chose à la Bible. Ainsi, aucune de ces affirmations ne peut absolument être vérifiée – ce serait une trahison du Seigneur. C’est exactement comme cela qu’ils tentent d’empêcher les autres de chercher et d’enquêter sur l’œuvre de Dieu Tout-Puissant dans les derniers jours, et après avoir entendu leurs paroles, certaines personnes ne savent pas quoi faire. Ensuite, nous allons discuter de la manière de comprendre purement la prophétie sur le fait de ne pas ajouter des choses que Jean disait dans Apocalypse 2218 afin d’être compatible avec la volonté de Dieu. La signification du passage dans Apocalypse 2218 sur le fait de ne pas ajouter des choses Tout d’abord, nous devons connaître le contexte de ces paroles dans l’Apocalypse. En fait, le Livre de l’Apocalypse a été écrit environ 90 ans après le Seigneur. Sur l’île de Patmos, après avoir vu une vision des derniers jours, Jean l’a transcrit ; à l’époque, le Nouveau Testament n’existait pas, et encore moins la Bible entière, l’Ancien et le Nouveau Testament en un seul livre. Le Nouveau Testament n’a été assemblé que 300 ans après le Seigneur. Ainsi, le livre mentionné dans Apocalypse 2218 n’était pas une référence à la Bible complète, mais était une référence à cette prophétie dans le livre de l’Apocalypse. Et si nous y regardons de plus près, ces versets parlent de personnes qui ajoutent quelque chose à cette prophétie, et non à la Bible. De ces deux faits, nous pouvons savoir que le fait de dire de ne rien y ajouter » ne signifie pas qu’il n’y aurait pas de nouvelles œuvres ou paroles de Dieu en dehors de la Bible, mais cela nous dit que nous ne pouvons arbitrairement rien ajouter aux prophéties du Livre de l’Apocalypse. De plus, nous devons être clairs sur la véritable signification de ces paroles dans l’Apocalypse. Il est écrit Si quelqu’un y ajoute quelque chose… » Nous pouvons voir que c’était un avertissement pour nous Les humains ne peuvent arbitrairement rien ajouter aux prophéties. C’est parce que ce sont des choses que Dieu Lui-même fera dans le futur, donc les gens ne peuvent pas savoir comment elles seront réellement accomplies jusqu’à ce que Dieu Lui-même vienne à l’œuvre. Si les gens superposent arbitrairement leurs propres idées sur ce fondement, c’est déformer les paroles de Dieu et c’est une offense au tempérament de Dieu – ils subiront la punition de Dieu. Nous devons savoir que ces paroles de l’Apocalypse s’adressaient à nous, l’humanité, et non à Dieu. Dieu est le Créateur et tout est entre Ses mains. Il est qualifié pour faire Sa propre œuvre en dehors des limites des prophéties, et c’est quelque chose qu’aucun être créé ne peut entraver, ni délimiter à volonté. Par exemple, la Bible dit en Deutéronome 1232 Vous observerez et vous mettrez en pratique toutes les choses que je vous ordonne ; vous n’y ajouterez rien, et vous n’en retrancherez rien. » Ici, l’Eternel Dieu nous dit explicitement que les gens ne peuvent rien ajouter à Ses commandements, mais l’œuvre et les paroles du Seigneur Jésus à l’ère de la Grâce n’avaient pas été consignées dans les Écritures, et elles étaient même entièrement différentes de certaines exigences de la loi. Tout comme l’exigence de l’ère de la Loi, qui est “œil pour œil et dent pour dent”, mais lorsque le Seigneur Jésus a œuvré, Il disait Vous avez appris qu’il a été dit œil pour œil, et dent pour dent. Mais moi, je vous dis de ne pas résister au méchant. Si quelqu’un te frappe sur la joue droite, présente-lui aussi l’autre. Si quelqu’un veut plaider contre toi, et prendre ta tunique, laisse-lui encore ton manteau » Matthieu 538-40. De plus, l’Eternel Dieu a dit aux gens à l’ère de la Loi de haïr leurs ennemis, mais à l’ère de la Grâce, voici ce que le Seigneur Jésus a dit Mais moi, je vous dis Aimez vos ennemis, bénissez ceux qui vous maudissent, faites du bien à ceux qui vous haïssent, et priez pour ceux qui vous maltraitent et qui vous persécutent » Matthieu 544. Comme l’ont vu ceux qui s’en tenaient à l’Ancien Testament, une grande partie de ce que le Seigneur Jésus a dit était en dehors des limites de la loi et était un ajout à la loi, donc ils n’ont pas suivi le Seigneur. Les pharisiens en particulier se sont accrochés à la loi de l’Ancien Testament pour condamner le Seigneur Jésus, commettant le péché monstrueux de blasphémer le Saint-Esprit. N’est-ce pas là une grande rébellion de la part des humains ? Dieu disant dans Ses paroles que rien ne peut être ajouté ou enlevé est Son exigence pour l’homme – comment pourrions-nous imposer les exigences des paroles de Dieu à Dieu Lui-même ? Dieu est le maître de toutes choses et Son travail est accompli selon Son plan. Il n’est contraint par aucun homme, et ne Se limite pas aux paroles de la Bible. Dieu dit L’œuvre de Jésus pendant le temps du Nouveau Testament a ouvert une nouvelle œuvre Il n’a pas œuvré selon l’Ancien Testament, et Il n’a pas appliqué les paroles prononcées par l’Éternel de l’Ancien Testament. Il a fait Sa propre œuvre, une nouvelle œuvre, une œuvre supérieure à la loi. Il a dit “Ne croyez pas que je sois venu pour abolir la loi ou les prophètes ; je suis venu non pour abolir, mais pour accomplir.” Ainsi, conformément à ce qu’Il a accompli, la doctrine a été sérieusement mise de côté. Pendant le sabbat, quand Il a amené les disciples dans un champ de blé, ils ont cueilli et mangé des épis Il n’a pas observé le sabbat, et a dit “Le Fils de l’homme est maître du sabbat.” En ce temps-là, selon les lois des Israélites, quiconque n’observait pas le sabbat devait être lapidé à mort. Jésus, cependant, n’est pas entré dans le temple ni n’a observé le sabbat, et Son œuvre n’a pas été faite par l’Éternel pendant le temps de l’Ancien Testament. Ainsi, l’œuvre de Jésus a dépassé la loi de l’Ancien Testament. Il était supérieur, non en accord avec l’Ancien Testament. » Il est clair que Dieu n’adhère pas aux règles. A chaque ère, Dieu fait une nouvelle œuvre et prononce de nouvelles paroles. Il n’est pas retenu par les lois et les commandements de l’ère précédente. Dieu agit en fonction des exigences de Son œuvre et de ce dont nous avons besoin en tant qu’êtres humains. Il prononce constamment de nouvelles paroles ; c’est la seule façon d’élever l’humanité à un niveau supérieur afin que nous puissions échapper pleinement aux forces de Satan et, en fin de compte, atteindre le salut de Dieu. C’est pourquoi nous ne pouvons pas penser que l’œuvre et les paroles de Dieu se limitent à ce que contient la Bible, et nous ne pouvons pas non plus exiger de Dieu qu’Il n’ajoute rien, ni déterminer qu’en dehors de la Bible, il ne peut y avoir de nouvelles paroles de Dieu. Si les gens manquent d’une véritable compréhension de ce passage de l’Écriture, s’accrochent à leurs notions absurdes, et délimitent ainsi l’œuvre de Dieu, ne risquent-ils pas d’offenser le tempérament de Dieu ? Tout comme les pharisiens ont conclu que le Seigneur Jésus trompait les gens parce qu’ils s’accrochaient à l’ancienne loi et pensaient que Ses paroles ont été ajouté à la loi. Non seulement ils n’ont pas accepté les paroles et l’œuvre du Seigneur, mais ils ont crucifié le Seigneur Jésus, et ont finalement été punis par Dieu. Nous devons tirer des leçons de l’échec des pharisiens. Nous ne pouvons pas délimiter Dieu dans la Bible et croire qu’il n’y a pas d’œuvre de Dieu au-delà de la Bible. Dieu est le Maître de toutes choses, et Dieu prononcera de nouvelles paroles selon Son plan et les besoins de l’humanité. Le Seigneur Jésus l’a prédit J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir » Jean 1612-13. Il est prophétisé dans l’Apocalypse que le Seigneur prononcera de nouvelles paroles à Son retour Le Seigneur Jésus a prédit J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais vous ne pouvez pas les porter maintenant. Quand le consolateur sera venu, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans toute la vérité ; car il ne parlera pas de lui-même, mais il dira tout ce qu’il aura entendu, et il vous annoncera les choses à venir » Jean 1612-13. Il y a aussi des prophéties du livre de l’Apocalypse Que celui qui a des oreilles entende ce que l’Esprit dit aux Églises A celui qui vaincra je donnerai de la manne cachée, et je lui donnerai un caillou blanc ; et sur ce caillou est écrit un nom nouveau, que personne ne connaît, si ce n’est celui qui le reçoit » Apocalypse 217. Puis je vis dans la main droite de celui qui était assis sur le trône un livre écrit en dedans et en dehors, scellé de sept sceaux. Et je vis un ange puissant, qui criait d’une voix forte Qui est digne d’ouvrir le livre, et d’en rompre les sceaux ? Et personne dans le ciel, ni sur la terre, ni sous la terre, ne put ouvrir le livre ni le regarder. Et je pleurai beaucoup de ce que personne ne fut trouvé digne d’ouvrir le livre ni de le regarder. Et l’un des vieillards me dit Ne pleure point ; voici, le lion de la tribu de Juda, le rejeton de David, a vaincu pour ouvrir le livre et ses sept sceaux » Apocalypse 51-5. Ce que l’Esprit dit aux Églises » et la manne cachée » mentionnés ici, le rouleau à sept sceaux qui doit être ouvert, etc., tout cela prouve que lorsque Dieu reviendra dans les derniers jours, Il aura plus de paroles à prononcer et de nouvelle œuvre à faire ; Il dévoilera tous les mystères que nous n’avons jamais compris auparavant. Alors, pouvons-nous vraiment conclure que tout ce qui est en dehors de la Bible ne peut être les paroles de Dieu à cause des paroles Si quelqu’un y ajoute quelque chose… » ? Enfin, la prophétie dans l’Apocalypse 2218-19 indique clairement que Et si quelqu’un retranche quelque chose des paroles du livre de cette prophétie, Dieu retranchera sa part de l’arbre de la vie et de la ville sainte, décrits dans ce livre. » Cela nous indique que le contenu de la prophétie ne peut pas être supprimé. Si nous refusons et ne croyons pas le fait prédit dans l’Apocalypse que Dieu parlera et prononcera des paroles lorsqu’Il reviendra, n’est-ce pas effacer le contenu de la prophétie ? N’est-ce pas nier la venue du Seigneur et nier la prophétie de la venue du Seigneur ? De cette façon, comment pouvons-nous obtenir le salut de Dieu dans les derniers jours et entrer dans le royaume de Dieu ? Par conséquent, dans l’importante question de l’accueil du retour du Seigneur, nous devons maintenir un cœur qui a faim et soif de justice, et un cœur qui cherche la vérité et comprend purement le sens de l’Apocalypse 2218-19. Nous ne pouvons être gênés par aucune de nos notions ou imaginations – c’est la seule façon d’accueillir l’apparition du Seigneur dans les derniers jours, d’être des vierges sages et d’être enlevées devant le trône de Dieu. Tout comme le Seigneur Jésus l’a dit Heureux les pauvres en esprit, car le royaume des cieux est à eux ! […] Heureux ceux qui ont faim et soif de la justice, car ils seront rassasiés ! […] Heureux ceux qui ont le cœur pur, car ils verront Dieu ! » Matthieu 53, 6, 8. Dieu Tout-Puissant nous a maintenant adressé des millions de paroles, qui ont été publiées en ligne afin que les personnes qui croient vraiment en Dieu et qui ont soif de vérité puissent les chercher et les examiner. Beaucoup de gens, en lisant les paroles de Dieu Tout-Puissant, ont vu que les paroles de Dieu Tout-Puissant possèdent l’autorité et le pouvoir et sont la vérité, qui sont capables d’indiquer le chemin et de fournir aux gens la vie, et les uns après les autres ils retournent devant le trône de Dieu. Tous ceux qui ont accepté les paroles de Dieu et l’œuvre des derniers jours sont des vierges sages. Après avoir entendu la voix de Dieu, elles vont au banquet de l’Agneau. Cela remplit complètement cette prophétie du Livre de l’Apocalypse Voici, je me tiens à la porte, et je frappe. Si quelqu’un entend ma voix et ouvre la porte, j’entrerai chez lui, je souperai avec lui, et lui avec moi » Apocalypse 320. Ceci a également accompli les paroles de Dieu Tout-Puissant Ma voix se diffusera sur toute la terre ; Je souhaite, devant Mes élus, leur adresser davantage de paroles. Comme les puissants tonnerres qui ébranlent les montagnes et les rivières, J’adresse Mes paroles à l’univers entier et à l’humanité. […] Que tous viennent devant Mon trône et voient Ma face glorieuse, entendent Ma voix et contemplent Mes actions. Telle est l’intégralité de Ma volonté ; c’est la fin et l’apogée de Mon plan, ainsi que l’objet de Ma gestion. Que toutes les nations Me vénèrent, que toute langue Me reconnaisse, que tout homme mette sa foi en Moi, et que tout peuple se soumette à Moi ! » Extrait du site Interprété par Jean-Jacques Goldman. CD Chansons pour les pieds Paroles/Musique JJ Goldman Comme un fil entre l'autre et l'un Invisible, il pose ses liens Dans les méandres des inconscients Il se promène impunément Et tout un peu tremble Et le reste s'éteint Juste dans nos ventres Un nœud, une faim Il fait roi l'esclave Et peut damner les saints L'honnête ou le sage Et l'on n'y peut rien Et l'on résiste on bâtit des murs Des bonheurs, photos bien rangées Terroriste, il fend les armures, Un instant tout est balayé Tu rampes et tu guettes Et tu mendies des mots Tu lis ses poètes Aimes ses tableaux Et tu cherches à la croiser T'as quinze ans soudain Tout change de base Et l'on n'y peut rien Il s'invite quand on ne l'attend pas Quand on y croit, il s'enfuit déjà Frère qui un jour y goûta Jamais plus tu ne guériras Il nous laisse vide Et plus mort que vivant C'est lui qui décide On ne fait que semblant Lui, choisit ses tours Et ses va et ses vient Ainsi fait l'amour Et l'on n'y peut rien Extrait du site Tous droits réservés Pour commencer, un travail d’analyse du sujet très intéressant Peut-on parler pour ne rien dire ? Si nous considérons le langage comme un instrument destiné à traduire la pensée, il semble impossible de parler pour ne rien dire. En ce sens, parler devrait toujours signifier quelque chose. Il faut donc prendre ce sujet en un sens métaphorique pour essayer de savoir dans quelle mesure nous pourrions parler pour ne rien signifier, c’est-à-dire pour ne rien dire de particulier, dire des choses inutiles ou dépourvues de sens. Le langage est à la fois le bien le plus précieux et le plus dangereux qui ait été donné à l’homme, a dit le poète allemand Friedrich Hölderlin. Ce bien précieux », ne le gaspillons-nous pas lorsque nous parlons pour ne rien dire », c’est-à-dire lorsque nous bavardons ? Faut-il alors préférer à la futilité du bavardage, à son inutilité, le sérieux et l’efficacité de la parole ? Bavarder » vient de baver » ; bavarder, c’est parler abondamment de choses oiseuses, insignifiantes. Parler et bavarder sont deux modalités du langage ; le langage est le moyen de communiquer sa pensée à autrui, c’est du moins ce qu’affirme le sens commun. Parler, c’est donc mettre en oeuvre une intention active et consciente de communication ; la parole vise à l’efficacité, elle se veut utile, sérieuse, individualisée. Le bavardage, au contraire, est une parole oiseuse, inutile, stéréotypée, impersonnelle. Toutefois, même dans ce cas, il est possible de nous demander si le langage ne traduit rien. Ce qui est absurde ou inutile dit encore des choses sur celui qui le dit. Une parole insignifiante sans importance est-elle pour autant non signifiante dépourvue de signification ? Dit-on quelque chose même quand on ne veut rien dire ? De plus, comme la raison humaine est limitée nous ne pouvons tout savoir ni tout entendre, il apparaît que nous ne disons rien quand nous parlons si nous n’arrivons pas à formuler clairement ce que l’on veut dire ou à faire comprendre ce que l’on a dit. L’intention de communiquer suffit-il pour dire quelque chose ? Nos paroles, mêmes confuses et vides, seraient alors toujours en excès, en diraient toujours plus. La parole se réduit-elle à son contenu ? Enfin on peut se demander si nous parlons pour dire quelque chose ». Y a-t-il d’autres fonctions du langage que celle du transfert d’information ? Une parole dont le but n’est pas d’informer ne dit-elle rien ? Le sens se limite-t-il au contenu informatif du message ? Nous réfléchirons ,dans un premier temps, sur le pourquoi de cette parole sans importance » que nous opposerons dans un second temps au sérieux des discours. Puis nous nous demanderons si le dire » est le domaine d’une parole authentique. I/ Bavarder Ils jacassent, glosent, bavardent, devisent, papotent, blablatent, caquètent, jactent, jaspinent ou encore si nous étions en Belgique, ils babelent, ou au Québec, ils placotent. Toutes ces paroles pour ne rien dire. Toute cette salive gaspillée pour ne rien dire. Toute cette énergie, toute ce brouhaha pour au bout du compte ne rien dire. Beaucoup de bruit pour rien en quelque sorte … Pourquoi parle-t-on pour ne rien dire ? -cause Contrairement aux animaux, dont la communication est directement motivée par des besoins nutrition, reproduction, prédation, l’homme peut parler pour ne rien dire. En effet, l’objet de la communication n’est pas déterminé à l’avance comme c’est le cas par exemple des abeilles. Leur communication est une réponse à un stimulus ou attend en retour une réaction et non un dialogue. L’homme peut parler de tout et donc de rien ! puisque le lien entre sa communication et et son objet n’est pas programmé. but premier communication seconde pour l’animal / inverse pour l’homme. De plus, la structure du langage composé de morphèmes et phonèmes permet une infinité de combinaisons possibles pouvoir génératif du langage. Le lien entre signifiant et signifié étant conventionnel, on peut aussi imaginer inventer des mots qui ne correspondent à rien qui existe, à des pures abstractions. Cf. Saussure – but Pour échapper à l’ennui, pour passer le temps, pour se distraire cf. le thème du divertissement » dans Les Pensées » de Pascal. On parle de tout et de rien », est-ce pour échapper à la peur du rien » ? Ne pouvant parler du tout » Dieu, l’infini, on comblerait notre finitude par une logorrhée indigeste. Pour échapper à la solitude, pour établir un lien, même superficiel, éphémère et dérisoire avec autrui cf. la notion de contagion affective » dans Nature et formes de la sympathie » de Max Scheler b Le caractère superficiel du bavardage de rien d’intéressant en particulier On bavarde de choses et d’autres », de tout et de rien ». Si l’on passe aussi facilement d’un sujet à l’autre, c’est que tous les sujets se valent et qu’ils valent tous aussi peu. L’opinion ne dispense d’une justification, argumentation, n’étant que la rumeur, le oui-dire, le cancan ou le commérage qui ne survit qu’en s’altérant dans la bouche de ses colporteurs. ex proverbes, lieux communs, prêt à penser, légendes urbaines, superstitions… Cf. Bachelard l’opinion a en droit toujours tort » Formation de l’esprit scientifique. c Le caractère impersonnel et stéréotypé du bavardage de rien de personnel, intime, singulier Le bavardage requiert et maintient l’anonymat des consciences ; le je » et le tu » s’abolissent dans l’anonymat du on ». Le bavardage relève de l’opinion ce qui intéresse tout le monde n’intéresse personne en particulier. Le bavardage dégrade la relation en contact et fait du message un prétexte. Pour Soren Kirkegaard, le verbiage est la caractéristique essentielle de la foule. » Bourdieu sujets des journaux pour susciter le consensus, langue de bois d Inutilité du bavardage Le bavardage ne vise aucune fin particulière, il est à lui-même sa propre fin. Transitions-objections ; personne n’échappe tout à fait à la fonction phatique » du langage. le bavardage » n’est pas inutile », il a une fonction sociale bien précise établir un contact, créer des liens ; De ces petites paroles de la vie qui ne disent rien ça va ? », il fait beau aujourd’hui ». Sommes-nous sûrs de vraiment considérer la santé de la personne à laquelle on s’adresse ? Que dire des interjections, des accents, des formes verbales ? Tout cela serait-il un parasitage du message ? On peut en effet s’accorder sur les multiples façons de n’avoir rien à dire, même lors qu’on veut dire quelque chose. On rate le message, l’adresse, et la personne à laquelle on parle ne comprend rien. Dans une telle situation, qui ne comprend pas ? Celui qui s’exprime ou celui qui écoute ? Où se trouve le parasite ? Quand bien même c’est le locuteur qui émet les parasites avec des euh » par exemple, est-ce de son initiative seule ou est-ce induit par celui qui écoute ? Qui produit le parlé ? Celui qui parle ou celui qui écoute ? Est-ce parce que quelqu’un écoute qu’on parle ou est-ce parce qu’on parle que quelqu’un écoute ? qui sommes-nous, après tout pour décider que telle parole est oiseuse » et que telle autre ne l’est pas ? II/ Parler pour dire » a Pourquoi parle-t-on ? – La parole se veut sérieuse » cf. les termes animaliers » pour désigner le bavardage. On ne cherche pas à s’évader de la réalité, mais à la rejoindre, à la comprendre, à agir sur elle. Parler, c’est transmettre un message à autrui, déployer une intention active et consciente de communication, c’est la fonction référentielle du langage comme le décrit Jakobson – ou dénotative » le message est centré sur le référent ; le langage parle du monde ». Nous parlons pour dire quelque chose Parler, au sens large = utiliser une langue, pas nécessairement oralement, pour communiquer. Une langue est un système de signes qui sert à communiquer Ferdinand de Saussure. Nous parlons pour communiquer, c’est-à-dire transmettre par un canal à un récepteur un message au sujet d’un référent. Ce message n’a-t-il pas un sens ? En règle général, donc, parler, c’est dire quelque chose à quelqu’un. b Ce message pour ne pas être vide doit respecter certaines conditions. Toute parole ,pour ne pas parler de rien, doit s’exprimer de façon claire et argumentée. En ce sens, si ce qui se conçoit bien s’énonce clairement », une parole pour ne pas être palabre, ou verbiage doit contenir un minimum de rhétorique. Si le rien est le contradictoire, alors pour parler de quelque chose, il faut les respecter les règles de tout discours cohérent. Cf. Organon Aristote. c La parole authentique se distingue de l’opinion. Elle s’assume, se défend, s’argumente. Elle ne craint pas les oppositions car elle est construite et claire. Ainsi parler c’est risquer le dissensus, le désaccord, le conflit. C’est non seulement discuter mais aussi disputer. C’est fuir les stéréotypes, les lieux communs pour une parole authentique, personnelle. C’est parfois être le seul à défendre ses idées contre tous. Cf. Montaigne, Voltaire, Zola, Martin Luther King… Objections-Transitions Cependant cette critique du bavardage et cette valorisation d’une parole dont la fonction serait de dire quelque chose présuppose d’une part que celui-ci se servirait à rien et ne signifierait rien, d’autre part que elle-là n’aurait d’autre fonction, pouvoir que de véhiculer une information. Ce serait à condition d’omettre les différentes fonctions de la parole. Ainsi même si son objet peut être irréel mythe ou fable, c’est-à-dire rien qui n’existe, la parole, en ne disant rien, peut servir plus efficacement les buts pédagogiques ou didactiques par exemple. Plus généralement, aucune parole n’est neutre mais vise l’efficacité Les techniques modernes de communication cherchent à agir sur autrui, la science parle en langage mathématique, condition d’une action sur les choses. La parole revêt elle aussi, par son souci de sérieux, souvent un caractère anonyme, impersonnel la propagande, la publicité, le langage scientifique et technique… On se sert souvent du langage pour communiquer des données impersonnelles ; la communication sociale nous fait participer à un monde commun, mais ce monde est un monde de concepts et non de consciences. La caractère impersonnel du bavardage pourrait donc n’être qu’une caractéristique plus essentielle de toute parole publique. De plus, le langage devrait-il toujours servir à dire quelque chose » ? Sommes-nous sûrs dès lors que nous disons toujours quelque chose lorsque nous parlons ? Que dire alors de ces formes de langage comme la poésie dadaïste par exemple ? Ou encore de ces chansons dans une langue inconnue ? De la musique même ? III Les fonctions d’une parole authentique a- la communication d’un message ou l’expression d’un sentiment n’est pas la seule fonction de la parole Outre le fait que certaines parole soient insignifiantesc’est-à-dire sans importance ou hors de propos ou même incohérentes le cas du délire, certaines fonctions du langage ne visent pas directement à transmettre un sens Cf. les différentes fonctions » du langage selon Roman Jacobson Parler peut être un moyen d’établir le lien préalable à toute communication. C’est la fonction phatique établir le contact entre l’émetteur et le récepteur, attester d’une reconnaissance réciproque. Ex. Allô ? ». Dans ce cas, je ne parle pas pour dire quelque chose mais avant de dire quelque chose pour m’assurer que quand je dirai quelque chose, mon message sera bien transmis c’est une des fonctions du bavardage. => Mauss don Parler peut aussi consister à faire quelque chose plutôt qu’à dire quelque chose conative. C’est la fonction performative Austin. Dire je te promets de venir demain », ce n’est pas simplement communiquer l’information que je viendrai, c’est aussi faire la promesse de venir. Il n’y a pas d’autres façons de promettre que de dire que l’on promet d’où le titre de l’ouvrage de Austin Quand dire, c’est faire. Parler peut enfin consister à créer des formes. C’est la fonction esthétique créer un univers poétique. La forme du message est alors plus importante que le contenu du message. Il pleure dans mon cœur comme il pleut sur la ville » n’est pas équivalent à je suis très triste ». Le poème n’informe pas sur les états d’âme du poète, mais crée un univers poétique indépendant du sens propre. C’est particulièrement évident dans le cas des poèmes de Mallarmé du fait que leur interprétation littérale est impossible. //fin en soi En outre, la parole peut également ne rien dire au sens où elle est circulaire ou elle parle d’elle-même jusqu’à ne désigner rien d’autre qu’elle-même. C’est la fonction métalinguistique » le message est centré sur le langage lui-même les grammairiens, les linguistes décrivent le fonctionnement du langage, on fait jouer la fonction métalinguistique lorsqu’on explicite ce que l’on dit je veux dire… », c’est-à-dire… », en d’autres termes… » b – Enfin, toute parole n’a-t-elle pas un sens malgré tout ? 1- La parole insignifiante peut avoir plus de portée qu’on ne pense. •Le sens ne dépend pas seulement du locuteur mais aussi du récepteur. Si autrui pourrait considérer qu’on parle pour ne rien dire alors que nous voulons dire quelque chose, c’est donc que le sens est une construction commune. Il n’y a pas de parole solitaire, de sens sans échange. Parler c’est aussi s’assurer qu’on est compris, et écouter c’est permettre à l’autre de parler aisément. En ce sens, les discours totalitaires parlent pour ne rien dire car ils n’attendent pas de dialogue, ne proposent pas une construction commune. • Le langage comme système de signes est un système d’oppositions qui confère à ses éléments un sens par le simple jeu des relations et des différences entre ces éléments. Le meilleur exemple en est le S+7 inventé par Queneau. Si dans un texte on remplace tous les substantifs par le septième substantif qui le suit dans un dictionnaire, le texte obtenu n’a pas de sens, il est absurde. Et pourtant, il n’est pas totalement privé de signification. Les associations arbitraires créées par le jeu des substitutions évoquent chez l’auditeur des sens insoupçonnés qui charment, font sourire ou inquiètent. Le surréalisme d’un Paul Eluard la terre est bleu comme une orange en est l’illustration. 2- La parole, délirante ou non, peut avoir un sens inconscient Cf. les thèses de Freud 3- Même quand on communique pour d’autres buts que simplement dire quelque chose, on dit toujours quelque chose. -son âge, son humeur, son statut social, ses origines, sa volonté d’appartenir à un groupe… Cf. Ernaux, Maupassant, Hugo, Bourdieu… On ne pourrait donc avoir accès à la totalité de la parole, à son authenticité qu’à condition de lâcher du lest au vouloir dire, de ne pas la réduire à la fonction référentielle mais de lui permettre de s’ouvrir un champ des possibles de l’esthétique, inconscient, social, voire religieux. Ainsi, il semblerait qu’on puisse tomber dans deux excès ne pas prendre la parole au sérieux bavarder ou bien l’asservir au sérieux ne parler que pour dire, instrumentaliser la parole. C’est de ce constat que nait le besoin d’éprouver la fécondité du silence les grandes spiritualités nous invitent à faire l’expérience du silence bouddhisme zen, monachisme chrétien. On parle souvent pour éviter l’indiscrétion du silence », on a peur du silence, de l’inquiétante étrangeté » du rien ». On trouve le concept d’aphasie dans la philosophie grecque antique, notamment chez Pyrrhon d’Elis. Celui-ci enseignait que l’essence des choses est indéterminable et indicible. L’aphasie est donc le fait de ne rien pouvoir dire sur les choses. Le fait que les jugements contraires ont exactement la même force conduit Pyrrhon à l’absence totale d’opinion et à l’absence de parole vraie. Plus généralement, avant de combler le vide par du rien, les sagesses nous invitent à apprendre à écouter autrui et le monde, pour voir » et non pour comprendre » ou pour agir » ; abandonner un peu la raison raisonnante » pour entrer en résonnance ». S’il est possible de vouloir ne rien dire, il est impossible de ne rien dire du tout à partir du moment où l’on prend la parole. Toute parole échappée laisse échapper du sens. On ne peut ne rien dire qu’en se taisant. Mais même se taire peut vouloir dire quelque chose ex. la minute de silence, un silence en dit long »….

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